Hommage à un grand homme qui aurait eu 101 ans aujourd’hui.

J’ai grandi  en suivant les aventure de La Calypso, mais ce n’est que maintenant que je réalise quel grand homme il fût. Passionné par les fonds marins et le cinéma, il est l’auteur d’un  nombre impressionnant de films (ici la liste).  Inventeur de la plongée sous-marine moderne, grâce à son scaphandre autonome, il s’est également battu toute sa vie pour protéger les fonds-marins.

Voici un film diffusé pour son centenaire.

http://fr.cousteau.org/

Et si on portait tous un bonnet rouge et que l’on prenait un peu plus comme exemple la vie d’hommes comme lui.

Allez salut je vais me coucher en regardant La Vie Aquatique.

Antoine Blin – Cousteau Mix :

 

R.E.P.

Création par  The Glue Society à Tamarama Beach pour la prévention sur le changement climatique. Simple et ludique !

Aujourd’hui, je vous parle de food. Quand on vous dit glace, on répondra tout de suite Haagen Dazs ou Amorino. Ts Ts Ts… Moi je veux de la glace, de la fat, avec 10 toppings et 10 parfums différents. Une glace à l’américaine, XXL quoi.

Aux US, on trouvera Cold Stone Creamery. Le pays des merveilles des adeptes de glaces, l’enfer pour les sensibles des dents. Haha, who cares, on veut de la glace. Ici, le principe est simple : on choisit les parfums et les toppings. Sauf qu’ici, il y en a plein : oreo, m&m’s, berries, chocolat au lait, chocolat noir, bonbons, marshmallow, noix de pécan et j’en passe… On choisit aussi le parfum des glaces, et après, le tout nous est préparé sur un plan de travail glacé, devant nos yeux. Et avec la chaleur qu’il fait aux US en été, de la glace, on en mangerait tous les jours !

bestplacesexplorer.com

tastychomps.blogspot

 

Cold Stream Creamery
2200 Crystal Drive
Crystal City, VA 22202

Mardi 17 mai, rencard à Répu à 19h, check. T’sais où c’est toi l’Alhambra ? Trop pas. Allez on sort les iPhones… Rue Yves Toudic, c’est où ça ?

Arrivé la bas on tombe direct sur une espèce de file d’attente qui bloque l’entrée de la salle. Mais qu’est ce que c’est que cette merde ? Ils font quoi eux ? C’est le bar ça ? Ok donc -1 pour la salle/

On se décide à faire quand même la queue car la pinte c’est le rituel. Et ça nous emmène direct ½h plus tard.

La salle commence à être bien remplie. Un mec balance du son ? C’est bien hip hop. Les gens commencent à remuer jusqu’au bassin. Finalement on s’y sent bien à l’Alhambra.

Le 1er dj se barre pour bientôt laisser la place à celui de Théophilus London. Wow on se prend quelques décibels de plus dans la tronche là. Ca me fait limite trembler. Tout le monde est content et ça danse beaucoup plus !

Et là my man fait son entrée ! J’ai envie de crier mais bon un peu de retenue quoi !

J’avais déjà vu l’artiste au Festival Les Inrocks à la Boule Noire en automne dernier mais c’est toujours aussi impressionnant de voir ce qu’il dégage sur scène. Le mec place la barre de plus en plus haut.

Il est venu nous présenter son EP Lovers Holiday à travers un live mi rock, mi électro, parfois soul mais le plus souvent hip-hop qui a su emmener la plupart d’entre nous.

Son guitariste est génial, joue de tout, et a su s’imposer direct sur le plateau grâce à une guitare électrique sonnant à la Neon Indian, t’sais la bonne saturation.

©Anne-Cécile Kovalevsky

Tous les deux font de la scène leur nouvelle maison, nous invitant à partager un bon moment avec eux. Ouais vraiment c’est ce que j’ai ressenti , le mec joue la proximité avec son public. Surtout avec les meufs pour de vrai.

ONLY SEXY GIRLS ON STAGE. Voilà ce qu’il a balancé à un pauvr’ gars qui s’est fait virer de scène après qu’une bonne demi douzaine de cuties soient montées pour se trémousser sur le plateau. Ah, il en a fait rêver des gazelles… N’hésitant pas à leur jeter des regards de crazy lover en leur tenant la main.

Il est également un homme généreux. Connaissant les rouages du Direct to fans, il a distribué à la foule une bonne dizaine de tees à son effigie ( dont un à moi, peace les haters. huhu ).

Il revient bientôt en France, ne le loupez pas !

One Love

Chez The. c’est un mélange d’idées ludiques conçues par Sherwwod Forlee et Mihoko Ouchi. Ces derniers ont commencé à travailler ensemble depuis 2009 en créant leur propre ligne de produits. Tous les objets que vous trouverez chez The. reflètent leur esprit joueur et organisé.

L’un, Sherwood Forlee est né à Hong Kong et a grandi au Zimbabwe. L’autre, Mihoko Ouchi, est née et a grandi au Japon. Ils ont su mêler déco et organisation avec ces cadres qui peuvent également servir de vase ou de porte manteaux. Une idée bien cool pour alterner la déco à sa guise : un jour des fleurs, un foulard rouge puis bleu…c’est comme on veut !

http://www.thinkofthe.com/

Le nouvel album de Mondkopf Rising Doom va paraître le 18 mai prochain. Il a d’ores et déjà 3 étoiles Technikart et promet d’autres belles choses.

rising doom cover

En attendant de pouvoir l’acheter, l’album est en écoute intégrale sur Deezer.com

Et disponible le jour de sa sortie en vraie qualité CD sur Qobuz.com

Allez donc faire un tour le 18 Mai prochain au Rex Club pour la Rising Doom Release Party

avec Mondkopf – Tommy Four Seven – Emptyset – Qoso.
Entrée libre – A vos risques et périls

Rising Doom Release Party

Et un petit clip pour patienter

Il est 20h50, ce jeudi 5 mai de l’an de grâce 2011, lorsque je me présente au 142 rue Montmartre. Devant le Social, c’est comme d’habitude. On y retrouve un petit attroupement de jeunesse sauf qu’au lieu de petits polos Ralph Lauren la plupart sont sapés en Supreme. Peut-être en espérant que Tyler les high-five en faisant un clin d’œil.
On a juste des ebillets Digitick mais on gratte tout le monde. Easy.
Nous voilà dans le club. Bon cette fois c’est vraiment chelou : en plus du fait qu’il soit à peine 21h, le truc est vide.
Manaré passe du son devant 3-4 personnes dans le Petit Social. C’est un peu le calme avant la tempête.
Nous voilà dans le fumoir et c’est à ce moment précis qu’on réalise qu’on est parti pour voir les mecs dont on regarde les vidéos depuis déjà un petit bout de temps. Merde ODD FUTURE quoi !

Un petit bout de temps plus tard, la foule se forme devant la scène rassemblée par DJ Syd Tha Kyd passant du Skrillex ou encore du Waka Flocka Flame. Le public est là!

Les premières notes de Sandwitches se font entendre et c’est parti pour une heure de show. Tyler arrive comme un ouf (normal) avec sa célèbre cagoule verte, vite rejoint par Hodgy Beats et Left Brain. Les mecs sont complétement zinzins et sautent partout dans le public sans s’arrêter de rapper.
On est les uns sur les autres, mais on relève pas car toute notre attention est concentrée sur les membres du gang qui font vraiment le spectacle.

Les mecs sont en marinières de l’Equipe de France de foot quoi! Niveau provoc’ on n’est pas mal là. Et tout le monde trouve ça génial.

Parfois Tyler pose un pied sur un retour, et fait face au public les yeux révulsés comme s’il communiait avec nous dans une sorte de transe. Ils ne font pas semblant, et ça nous ravit.

Tu vois le Social Club? Ben pire ! Les murs suintent comme tout ce qui s’y trouve. On saute, on crie, on chante à l’unisson. C’est assez magique. Les mecs du Wolf Gang s’accrochent au plafond.
On ne pense à rien, on profite c’est assez punk, mais que veux-tu? « Kill people Burn shit Fuck School »

Tout le monde est là : Busy P, Teki, Dj Mehdi, Para One, Cuizi, Orgaga, … je ne sais même plus.

On l’attendait tellement ce concert qu’on avait peur d’être déçu. Ce n’est pas le cas! Tyler a été créé pour ce qu’il fait c’est certain. Et ceux qui le suivent dans son trip, mais un peu plus dans l’ombre, méritent aussi leur part car ils font bien le taff.

Maintenant, il s’agit de choper l’album qui vient tout juste de paraître et perpétuer la bonne parole. Amen

Il est 20h30, ce lundi 25 avril, lorsque je quitte la rue de Ménilmontant pour la rue Boyer. Machinalement, j’attrape quelques flyers ainsi que ma place, salue le mec de la sécu et m’engouffre dans cette bouche qu’est l’escalier menant à la salle de concert. J’ouvre la dernière porte qui me sépare de ce temple de la musique, et là… BOUM; une impression d’immense chaleur me fouette le visage. Non, ce qui fouette c’est plutôt cette odeur de transpi ultra forte! Ca va les gars on est détente dans la salle…

On est là pour la musique alors on ne fait pas de manières et on se faufile pour se faire une place. Agréable surprise qu’est cette première partie. On voit rien mais le son emmène directement. +1 aux musiciens inconnus!

Ah c’était déjà la dernière chanson, tant pis… Les lumières s’allument alors qu’on était à peine ambiancé pour laisser place à un brouhaha puissant venant du public. Je ne pensais pas qu’on pouvait couvrir l’album de Salem simplement en discutant. On est là, on finit une bière, on se dit qu’on a pas le temps de s’en procurer une autre, et pourtant si. L’attente semble si interminable qu’on se surprend à inventer des jeux comme quand nos parents nous emmenaient en vacances, t’sais sur l’autoroute. Cette fois, le projet c’est d’analyser un peu le public, les gens comme toi, comme moi. Ici, ça donne un truc comme 2/3 de mecs de 25/30 ans, et 1/3 de filles du même âge.

On est là, on rigole, on est bien et le spectacle commence sans qu’on le voit arriver. James est là devant son couple de claviers. Tout timide. Avec son poto aux machines/ guitare et le second à la batterie. Un lourdau sympatoch fait une guebla, les musiciens sourient, le public se marre…
Puis viennent les premières notes. On reconnaît le style directement, « on ne s’est pas trompé » se disent les membres de ce public motivé mais encore trop timide.

via impossiblesouls.blogspot.com

Timide ok, mais c’est sans compter l’énorme break de I Never Learnt To Share qui débarque sans prévenir et t’ambiance en une fraction de secondes. Les gens poussent des petits cris et vont même jusqu’à faire des petites danses tribales comme les mecs de la techno dans la forêt. Nan mais vite fait hein; on était pas non plus à un festoschlag.
James et ses acolytes joueront une heure, nous faisant osciller entre une ambiance grosses-basses-qui-font-trembler-tout-ton-corps et de jolies petites ballades dans lesquelles il parle de sa môman toussa toussa. Un beau cocktail en somme.

On en sort RA-VI, et les 3 pintes y sont pour quelque chose.
« Bon on la chope où la 2 déjà ? »

Alëx qui ? Alex Swan ?

Jeudi 5 mai a eu lieu le vernissage d’Alëxone à la Galerie LJ. Une exposition qui présente ses dessins sur photographies. Tapisseries ravissantes au mur, une série de dessins qui nous montrent des personnages colorés dans la rue, sur un bras tatoué et bien d’autres encore.

Des dessins et de la photo ? Et pas que !
Une sculpture en bronze au centre de la pièce qui déchire. On envie de toucher ce personnage loufoque avec nos petits doigts.

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Oops ! J’ai failli oublier qu’on peut repartir avec une crotte de chien tout droit sortie de la machine !

Exposition: Alëxone – Y A PAS PHOTO
du 5 mai – 11 juin 2011
Galerie L.J
12 rue Commines -75003 Paris